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octobre 12, 2018
L’indice composite national stable en septembre

L’indice composite national de prix de maison Teranet – Banque NationaleMC est demeuré stable en septembre[1], ce qui correspond à la moyenne des variations mensuelles au cours de ce mois depuis 2010. L‘indice n’a progressé que dans cinq des 11 régions métropolitaines couvertes, la plus faible dispersion de gains en six mois. L’indice a crû […]

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septembre 12, 2018
L’abordabilité s’érode à nouveau au T2

Les taux d’intérêt hypothécaires ont augmenté un quatrième trimestre de suite au T2.
Résultat, l’abordabilité s’est détériorée dans pas moins de 7 marchés urbains sur dix, ce qui
explique la 12e détérioration de suite de notre indice composé urbain. La hausse des taux
d’intérêt a eu un effet plus cinglant sur les marchés les plus chers du pays (graphique de
gauche), ce qui n’a rien d’étonnant. Heureusement, les hausses de revenus en Colombie-
Britannique ont atténué l’impact dans deux de ses plus grandes villes. Néanmoins, Victoria
a connu une forte détérioration dans les segments à la fois des appartements en
copropriété et des autres formes de logements, car les prix continuent de monter malgré le
resserrement des critères de prêt imposé par le BSIF depuis janvier. Le ralentissement du
marché de la revente a commencé à avoir une incidence sur les prix à Vancouver et Toronto
pendant le trimestre. De fait, les prix de l’immobilier résidentiel ont enregistré leur plus faible
hausse en près de quatre ans à Vancouver alors qu’ils ont baissé à Toronto. Cela dit, les
deux villes représentent toujours un environnement difficile pour les nouveaux acheteurs
d’un logement (graphique de droite) et cela ne changera sans doute pas à court terme vu
que la banque centrale continue de resserrer sa politique monétaire.

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septembre 12, 2018
Faiblesse à Toronto et à Vancouver

L’indice composite publié était en hausse en août un cinquième mois de suite, mais ces
progressions ne reflètent que des mouvements habituels en cette période de l’année. En
effet, après correction des effets saisonniers, l’indice composite est resté stationnaire
en août après des baisses de juin et juillet. Ainsi, à l’échelle nationale, le marché
n’affiche certainement pas une vigueur sous-jacente. Cette tendance provient
principalement de Toronto et de Vancouver, les deux plus importants marchés
immobiliers au Canada. À Toronto, l’indice publié affiche une cinquième hausse
mensuelle de suite, mais à l’inverse, son pendant corrigé des effets saisonniers
enregistre sa cinquième contraction consécutive. À Vancouver, l’indice corrigé des effets
saisonniers a baissé un troisième mois de suite (graphique de gauche). En août, l’indice
corrigé des effets saisonniers s’est contracté ou est resté stable dans six des neuf autres
régions métropolitaines couvertes. Cela dit, certaines régions font montre d’une vigueur
sous-jacente, comme à Montréal et Ottawa-Gatineau, dont les indices ont connu
récemment de fortes hausses.

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septembre 2018

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septembre 12, 2018
Faiblesse à Toronto et Vancouver après dessaisonalisation

L’indice composite national de prix de maison Teranet – Banque NationaleMC a crû de 0,2 % en août[1]. Si on faisait abstraction des pressions saisonnières habituelles au mois d’août chaque année (dessaisonalisation), l’indice serait demeuré à peu près stable, faisant suite à des baisses en juin et juillet. En d’autres mots, la tendance de fond baissière […]

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août 14, 2018
Ni grande vigueur ni grande faiblesse

L’Indice composite a augmenté en juillet un quatrième mois de suite, mais ces hausses
étaient toutes inférieures aux moyennes historiques de ces mois. En fait, après
correction des effets saisonniers, l’indice composite est resté stationnaire en juillet à la
suite d’une baisse en juin. Le même phénomène s’est appliqué à l’indice de Toronto, où
à l’opposé de l’indice publié, l’indice corrigé des effets saisonniers a baissé au cours des
quatre derniers mois (graphique de gauche). L’indice corrigé a reculé au cours des deux
derniers mois à Vancouver. Cela signifie que la récente hausse de ces indices ne reflétait
que des pressions saisonnières, pas une tendance de fond. Pour Toronto, les baisses
récentes de l’indice corrigé des effets saisonniers étaient dues au sous-indice des
logements autres que les appartements en copropriété, qui a affiché une baisse
cumulative de 2.1%. Pendant ce temps, l’indice des logements en copropriété était en
hausse de 1.6% (graphique de droite). Ces chiffres concordent avec les conditions du
marché, plus tendues pour les logements en copropriété que pour les autres types
d’habitation.

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aout 2018

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août 14, 2018
Les pressions saisonnières expliquent la hausse de l’indice composite en juin et juillet

L’indice composite national de prix de maison Teranet – Banque NationaleMC a crû de 0,8 % en juillet[1]. Tout comme en juin, cette avancée, importante à première vue, fut en fait en-deçà de la norme historique pour un mois de juillet, qui est de 1,0 %. Si on faisait abstraction de la partie purement saisonnière des variations […]

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juillet 12, 2018
En juin, l’indice a récupéré le terrain perdu durant la seconde moitié de 2017

L’indice composite national de prix de maison Teranet – Banque NationaleMC a crû de 0,9 % en juin . Bien qu’importante à première vue, cette avancée est la troisième plus faible pour un mois de juin au cours des 14 dernières années. Si on fait abstraction de la portion saisonnière des fluctuations mensuelles, on ne […]

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juillet 12, 2018
En juin, l’indice a regagné le terrain perdu au 2e semestre de 2017

Avec la hausse de juin, l’Indice composite a tout juste regagné le terrain perdu au deuxième
semestre de 2017 (graphique de gauche), ce qui ne signifie pas pour autant que le marché
immobilier canadien soit sur le point d’entrer dans une nouvelle frénésie. La hausse de juin,
impressionnante à première vue, était en fait relativement faible pour cette période de
l’année. En effet, après correction des effets saisonniers, l’indice aurait stagné sur les trois
derniers mois (graphique de droite). Donc, abstraction faite des mouvements saisonniers,
l’indice s’est simplement stabilisé. Cela dit, une stabilisation au plan national peut cacher
différentes tendances de prix pour différentes catégories de logements. Ainsi, les prix des
logements en copropriété ont fortement augmenté depuis le début de l’année à Toronto et à
Vancouver (après correction des effets saisonniers, ils ont gagné 7.8% et 16.3% en rythme
annualisé, respectivement), alors que les prix des autres types de logements sont restés
stables. La résilience des prix dans cette dernière catégorie de logements est plutôt
rassurante, car la hausse des taux d’intérêt et le resserrement des conditions d’accès au
crédit hypothécaire (ligne directrice B-20) ont indubitablement restreint la demande des
logements les plus onéreux.

juin_2018

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juin 13, 2018
La Stabilisation des Prix des Maisons Confirmée en Mai

L’indice composite national de prix de maison Teranet – Banque NationaleMC a crû de 1,0 % en mai. Cela confirme la stabilisation de l’indice après la tendance baissière qui a prévalu au deuxième semestre de 2017. Le dernier gain mensuel est légèrement inférieur à la moyenne des croissances mensuelles du mois de mai (1,1 %) en 20 […]

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juin 13, 2018
Indice de prix de maison Teranet-Banque Nationale: La stabilisation des prix des logements se confirme en mai

OPINION : La hausse en mai de l’IPM composé Teranet-Banque Nationale confirme la stabilisation des prix des logements en cours depuis la fin de l’année dernière, après une correction au deuxième semestre de 2017 (graphique du haut). Il est vrai que cette stabilisation s’est accompagnée d’un changement de dynamique des prix en faveur des logements en copropriété à Toronto et Vancouver. Étant donné le niveau de prix élevé des autres types de logements dans ces villes, la hausse des taux d’intérêt et le resserrement des conditions de crédit hypothécaire, ce changement ne devrait guère surprendre. Mais heureusement, cela ne s’est pas soldé par une baisse du prix des autres types de logements dans ces villes (graphique du milieu). Dans les autres régions métropolitaines couvertes par l’indice composé, les prix ont regagné l’essentiel du terrain perdu au T1 (graphique du bas). Comme les taux d’intérêt vont probablement continuer d’augmenter, on ne saurait écarter la possibilité d’une rechute des prix des maisons au cours des prochains trimestres. Mais leur résilience jusque-là laisse penser que l’ampleur de la baisse de prix serait alors limitée.

Mai_2018