VARIATION MENSUELLE Après correction des effets saisonniers, l’indice composite de prix de maison Teranet-Banque NationaleMC, qui couvre les onze plus grandes RMR du pays, est demeuré stable de mai à juin suivant une faible hausse de 0.2% le mois précédent. En juin, cinq des 11 RMR incluses dans l’indice ont connu des croissances, soit Winnipeg (+3.9%), […]
Après avoir connu de faibles hausses depuis le début de 2024, le prix des maisons dans les grands centres urbains au Canada est demeuré stable en juin alors que les conditions du marché de la revente de logements continuent d’indiquer un marché équilibré entre les acheteurs et les vendeurs. Il est vrai que le début du cycle de détente monétaire en juin a poussé davantage d’acheteurs à passer à l’action durant le mois, mais nous n’avons pas assisté à une vague importante de nouvelles transactions qui aurait pu mettre de la pression à la hausse sur les prix. Bien que la croissance démographique record, la pénurie d’offres de logements et les coupures de taux à venir par la Banque du Canada continueront de supporter le marché immobilier canadien dans les prochains mois, nous faisons preuve d’un optimisme prudent quant à l’amplitude d’une éventuelle reprise du marché du logement dans les mois à venir et de son impact potentiel sur les prix. En effet, beaucoup d’incertitudes demeurent, y compris le risque d’une détérioration supplémentaire du marché du travail, particulièrement chez les jeunes qui sont confrontés aux pires conditions d’abordabilité depuis des décennies. Il est vrai que la confiance des consommateurs soit quelque peu revigorée avec le début des baisses du taux directeur, mais les taux d’intérêt demeurent malgré tout pour le moment en territoire fortement restrictif.
VARIATION MENSUELLE Après correction des effets saisonniers, l’indice composite de prix de maison Teranet-Banque NationaleMC, qui couvre les onze plus grandes RMR du pays, a augmenté de 0.5% d’avril à mai après être demeuré stable le mois précédent. En mai, sept des 11 RMR incluses dans l’indice ont connu des croissances, soit Halifax (+1.5%), Hamilton […]
Après avoir connu une relative stabilité depuis le début de 2024, les prix des maisons dans les grands centres urbains au Canada ont connu une croissance de 0.5% d’avril à mai dans un contexte d’optimisme renouvelé par le début du cycle de détente monétaire par la Banque du Canada. L’augmentation observée en mai s’explique entièrement par une hausse des prix dans le segment des logements autre que les copropriétés (+0.7%), tandis que le prix des condos est demeuré relativement stable depuis août 2023 alors que l’inventaire dans ce segment continue de s’accumuler. Bien que la croissance démographique record, la pénurie d’offres de logements et le début des coupures de taux par la Banque du Canada continueront de supporter le marché immobilier canadien dans les mois à venir, nous faisons preuve d’un optimisme prudent quant à l’amplitude d’une éventuelle reprise du marché du logement dans les mois à venir et de son impact potentiel sur les prix. En effet, beaucoup d’incertitudes demeurent, y compris le risque d’une détérioration supplémentaire du marché du travail, particulièrement chez les jeunes qui sont confrontés aux pires conditions d’abordabilité depuis des décennies.
VARIATION MENSUELLE Après correction des effets saisonniers, l’indice composite de prix de maison Teranet-Banque NationaleMC, qui couvre les onze plus grandes RMR du pays, est demeuré stable de mars à avril après avoir crû lors des deux mois précédents. En avril, sept des 11 RMR incluses dans l’indice ont connu des croissances, soit Edmonton (+2.0%), […]
Après avoir connu une croissance lors des deux mois précédents dans la foulée d’une légère reprise d’activité sur le marché immobilier au début de l’hiver, les prix des maisons dans les grands centres urbains au Canada sont demeurés inchangés sur une base désaisonnalisée de mars à avril. Cette stabilisation survient alors que l’activité sur le marché de la revente demeure morose au printemps avec les premiers acheteurs de maison possiblement sur les lignes de côté en attente d’éventuelles baisses de taux d’intérêt de la part de la Banque du Canada durant l’été. La faiblesse est particulièrement notable dans la plus grande ville du pays, Toronto, qui connait une détérioration significative du marché du travail dans les derniers mois (taux de chômage désormais à 7.9% vs 5.6% un an plus tôt). Bien que la croissance démographique record, la pénurie d’offres de logements, les taux hypothécaires fixes plus favorables comparativement à l’année dernière et d’éventuelles coupures du taux directeur continueront de supporter le marché immobilier canadien dans les mois à venir, nous faisons preuve d’un optimisme prudent quant à l’amplitude d’une éventuelle reprise du marché du logement dans les mois à venir et de son impact potentiel sur les prix. En effet, beaucoup d’incertitudes demeurent, y compris le risque d’une détérioration supplémentaire du marché du travail, particulièrement chez les jeunes qui sont confrontés aux pires conditions d’abordabilité depuis des décennies.
VARIATION MENSUELLE Après correction des effets saisonniers, l’indice composite de prix de maison Teranet-Banque NationaleMC, qui couvre les onze plus grandes RMR du pays, a connu une hausse de 0.2% de février à mars, soit une deuxième augmentation mensuelle consécutive. En mars, quatre des 11 RMR incluses dans l’indice ont connu des croissances, soit Vancouver […]
Après être repassé en territoire de croissance en février, l’indice composite Teranet-Banque NationaleMC poursuit son augmentation en mars avec un faible gain de 0.2% par rapport au mois précédent. Cette augmentation du prix des propriétés survient alors que le marché immobilier a repris de la vigueur depuis novembre, porté notamment par une croissance démographique exceptionnelle, des taux d’intérêt hypothécaires fixes légèrement plus avantageux et l’anticipation de baisses de taux directeur par la Banque du Canada. Bien que ces facteurs continueront de supporter le marché immobilier dans les mois à venir, nous faisons preuve d’un optimisme prudent quant à une éventuelle reprise significative du marché du logement dans les mois à venir et de croissances de prix plus importantes. En effet, beaucoup d’incertitudes demeurent, y compris une détérioration potentielle supplémentaire du marché du travail pour les jeunes qui sont confrontés aux pires conditions d’abordabilité depuis des décennies.
Après avoir connu une contraction de 1.5% au cours des cinq mois précédents, l’indice composite Teranet-Banque NationaleMC a finalement renoué avec la croissance en février avec une hausse de 0.2% par rapport au mois précédent. Cette augmentation du prix des propriétés survient alors que le marché immobilier a repris de la vigueur de novembre à janvier, porté notamment par une croissance démographique exceptionnelle, des taux d’intérêt hypothécaires fixes plus avantageux et l’anticipation de baisses de taux directeur par la Banque du Canada. Toutefois, il reste à voir si c’est le début d’une tendance à la hausse. D’un côté, le manque d’offre de logements sur le marché continuera de supporter les prix, mais les défis d’abordabilité persistants devraient venir limiter la capacité de payer des ménages et ainsi l’augmentation de la valeur des propriétés. Il s’avère que le marché de la revente est reparti à la baisse en février alors que les taux d’intérêt obligataires ont connu une hausse dans les dernières semaines en raison de nouvelles moins favorables concernant l’inflation qui repoussent les baisses potentielles du taux directeur. Par conséquent, nous nous attendons à ce que les prix de l’immobilier évoluent latéralement à court terme.
VARIATION MENSUELLE Après correction des effets saisonniers, l’indice composite de prix de maison Teranet-Banque NationaleMC, qui couvre les onze plus grandes RMR du pays, a connu une hausse de 0.2% de janvier à février, soit une première augmentation après quatre diminutions mensuelles consécutives. En février, cinq des 11 RMR incluses dans l’indice ont connu des […]