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août 20, 2020
Des signaux contrastés pour le marché immobilier résidentiel en pandémie

La progression de l’indice composé le mois dernier était la plus faible pour un mois de juillet en 15 ans. Cela marque le deuxième mois où des indices révèlent que le confinement a eu un impact sur l’activité qui ralentissait le marché immobilier résidentiel. On notera que l’Indice composite de prix de maison Teranet-Banque Nationale est lissé par l’utilisation de la moyenne mobile de trois mois et emploie les données du registre foncier. Cela signifie qu’il reflète actuellement l’évolution du prix des maisons alors que le secteur était encore en ralenti. L’indice brut corrigé des effets saisonniers de juillet dénote plutôt un rebond de 0.9% après deux baisses consécutives, ce qui concorde avec le solide rebond des ventes de maisons qui se produit depuis avril. Cela signifie-t-il que le marché immobilier résidentiel sera à l’abri des difficultés dans cette récession? Pas si vite. La demande latente accumulée pendant le confinement a gonflé les chiffres de ventes de juin et de juillet. Un examen de la moyenne mobile sur 5 mois révèle que l’activité sur le marché de la revente de maisons était plutôt faible depuis mars. En ce sens, nous pensons toujours que le marché immobilier résidentiel butera contre certaines difficultés. En fait, les ménages n’ont pas encore souffert des conséquences des difficultés économiques actuelles. Les consommateurs ont bénéficié de reports de remboursements de dettes et les programmes d’aide au revenu établis par les divers paliers de gouvernement ont largement compensé les pertes sur le marché du travail. La fin de ces programmes et un marché du travail encore en convalescence pourraient soulever des obstacles.

août 2020

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août 20, 2020
LE PLUS FAIBLE HAUSSE DE L’INDICE EN 15 ANS POUR UN MOIS DE JUILLET

Dans la foulée de la pandémie, le ralentissement du marché immobilier se confirme. L’indice composite national de prix de maison Teranet – Banque NationaleMC n’a crû de que 0,3% en juillet, la plus faible hausse en 15 ans pour un mois de juillet. D’ailleurs, si on corrigeait l’indice des variations saisonnières habituelles (dessaisonalisation), on aurait […]

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juillet 20, 2020
LE RALENTISSEMENT DU MARCHÉ IMMOBILIER DÛ À LA COVID-19 SE CONFIRME

L’indice composite national de prix de maison Teranet – Banque NationaleMC a crû de 0,7% en juin. Ce gain n’équivaut qu’à la moitié de la moyenne des variations mensuelles de l’indice en juin au cours des dix années précédentes. Qui plus est, il s’agit de la plus faible progression de l’indice composite pour un mois […]

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juillet 20, 2020
Confirmation du ralentissement du marché immobilier dû à la COVID-19

Le mois dernier, la progression de l’indice composé était la plus faible pour un mois de juin depuis 2004. Cela s’ajoute à d’autres indices déjà relevés en mai d’un ralentissement de l’activité du marché immobilier à cause de la COVID-19. Par exemple, le nombre de paires de ventes desquelles les indices de juin ont été dérivés était le plus faible pour un mois de juin depuis 2001. Comme en mai, un faible niveau de paires de ventes a été enregistré dans toutes les 11 régions métropolitaines qui composent
l’indice composite. De plus, juin marque la deuxième baisse mensuelle de suite de l’indice composé brut corrigé des effets saisonniers. L’indice brut a baissé en juin dans six des onze régions métropolitaines constituantes. Certes, selon l’ACI, les ventes totales de maisons canadiennes sont revenues à un niveau plus normal, et cela devrait bientôt se refléter dans les registres fonciers. Mais des points d’interrogations demeurent. Nous nous attendons à ce que le taux de chômage canadien reste élevé pendant un certain temps. Dans ce contexte, la demande de logements pourrait baisser en raison du ralentissement de l’immigration et du fait que les acheteurs potentiels d’un premier logement pourraient se voir refuser un credit hypothécaire, bien que le taux de propriété soit bas parmi les travailleurs dans les secteurs les plus affectés par la COVID-19.

juillet 2020

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juin 17, 2020
LES PREMIERS SIGNES DU RALENTISSEMENT DU MARCHÉ IMMOBILIER

L’indice composite national de prix de maison Teranet – Banque NationaleMC a crû de 1,1 % en mai. Ce gain égale la moyenne des variations mensuelles de l’indice en mai au cours des dix années précédentes. L’indice a été tiré vers le haut par les régions métropolitaines d’Ottawa-Gatineau (2,2 %), Toronto (2,1 %), Halifax (1,8 %) et Hamilton […]

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juin 17, 2020
Premiers signes d’un ralentissement du marché immobilier

Deux phénomènes apparus dans les données des registres fonciers reflètent le ralentissement de l’activité de vente de logements qui a débuté dans la deuxième quinzaine de mars. Premièrement, le nombre de paires de ventes dont les indices de mai sont dérivés a baissé de 22% a/a. Il s’agit du plus important recul en glissement annuel depuis avril  013, marquant une rupture nette dans la tendance à la hausse qui se manifestait jusque-là. Des baisses des paires de ventes ont été enregistrées dans les 11 régions métropolitaines couvertes par l’indice composite. Le deuxième signe est le ralentissement de l’indice composé brut corrigé des effets saisonniers, qui n’a augmenté que de 0.2% en mai après trois mois de gains dépassant 0.8% (graphique de droite). L’indice brut a baissé ou était inchangé dans cinq des onze regions métropolitaines constituantes. À notre avis, des baisses de prix des logements sont à prévoir. Le taux de chômage est passé de 5.6% en février à 13.7% en mai au Canada, et il devrait rester élevé au moins jusqu’à la fin de l’année prochaine. Dans ce contexte, la demande de logements pourrait baisser en raison du ralentissement de l’immigration et du fait que des acheteurs potentiels d’un premier logement pourraient se voir refuser un crédit hypothécaire. À l’inverse, l’offre pourrait se trouver alimentée par des propriétaires incapables d’honorer leurs engagements hypothécaires, qui chercheront
donc à vendre.

juin 2020

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mai 20, 2020
LE CHANT DU CYGNE AVANT QUE LA COVID-19 N’INFECTE LES INDICES?

L’indice composite national de prix de maison Teranet – Banque NationaleMC a crû de 1,3 % en avril. Tout comme ce fut le cas en février et mars, ce gain représente le double de la moyenne des hausses en avril au cours des dix années précédentes. L’indice a été tiré vers le haut par les […]

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mai 20, 2020
Le chant du cygne avant que la Covid-19 ne contamine l’IPM?

Selon les ventes de maisons consignées dans les registres fonciers, les prix à la revente ont monté au rythme le plus soutenu pour un mois d’avril depuis 2010. De plus, sur les 11 régions métropolitaines couvertes par l’Indice composite ainsi que 14 autres regions pour lesquelles un IPM est disponible, l’indice a augmenté dans 22 de ces 25 régions, ce qui en fait la diffusion la plus élevée de gains mensuels en neuf mois. Bien sûr, comme l’économie canadienne est entrée en récession à la suite des mesures sanitaires imposées pour contenir la propagation de la COVID-19, il est peu probable que cette dynamique se maintienne. Le taux de chômage est passé de 5.6% en février à 13% en avril au Canada, et il devrait rester élevé au moins jusqu’à la fin de l’année prochaine. Dans ce contexte, la demande de logements pourrait baisser suite à un ralentissement de l’immigration et du fait que les acheteurs potentiels d’un premier logement pourraient ne pas se qualifier pour un prêt hypothécaire. À l’inverse, l’offre pourrait se trouver alimentée par des propriétaires devenus incapables d’honorer leurs engagements hypothécaires et qui chercheront à vendre. En d’autres termes, un taux de chômage durablement élevé pourrait se traduire par des pressions à la baisse sur les prix des maisons.

mai 2020

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avril 20, 2020
AUTRE HAUSSE VIGOUREUSE DE L’INDICE COMPOSITE EN MARS

L’indice composite national de prix de maison Teranet – Banque NationaleMC a crû de 0,6 % en mars. Tout comme ce fut le cas en février, ce gain représente le double de la moyenne des hausses en mars au cours des dix années précédentes. L’indice a été tiré vers le haut par les régions métropolitaines […]

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avril 20, 2020
Le coronavirus pourrait infecter l’IPM national

À l’échelle nationale, les prix des maisons prenaient encore de l’élan en mars. Mais cette donnée repose sur les ventes une fois enregistrées dans les registres fonciers. Les ventes dont font état les chambres immobilières sont enregistrées peu après qu’elles sont devenues inconditionnelles et sont donc plus représentatives des transactions récentes. Les chambres immobilières les plus importantes ont toutes mentionné une nette chute de l’activité pendant la deuxième quinzaine de mars en raison des mesures prises pour freiner la propagation de la COVID-19. Cela a été confirmé lorsque l’ACI a fait état d’une chute des ventes de février à mars sur 25 des 26 grands marchés du Canada, avec de fortes baisses sur la plupart des marchés couverts par l’IPM Teranet-Banque Nationale. L’impact de ce ralentissement de l’activité devrait être bientôt reflété dans les indices de prix de maison. Une perte de vitesse est particulièrement à prévoir dans les indices des marchés métropolitains situés dans le Centre et l’Est du Canada (Toronto, Hamilton, Ottawa-Gatineau, Montréal et Halifax) qui jusque-là tiraient l’IPM national vers le haut.

avril 2020