Les prix de l’immobilier résidentiel donnent des signes de faiblesse à l’échelle nationale
(graphique de gauche), mais le marché est loin d’être homogène. Par exemple,
Vancouver n’a enregistré aucune hausse un troisième mois de suite, ce qui lui vaut une
perte cumulative de 1.2%. En outre, la faiblesse s’est propagée aux logements en
copropriété tout comme aux logements plus dispendieux. Cela concorde avec le fait que
depuis le début de l’année, les ventes de logements ont fortement diminué dans les
deux segments. Pour Toronto, le tableau est contrasté, les prix des logements en
copropriété poursuivant une tendance à la hausse. Montréal se situe à l’autre extrémité
du spectre. La deuxième région métropolitaine du Canada a connu le marché de la
revente de maisons le plus vigoureux des derniers mois (graphique de droite). Alors que
les taux d’intérêt doivent à nouveau augmenter au cours des prochains mois, nous ne
prévoyons pas de hausse marquée des prix des maisons.
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